Désillusion.
lundi 24 mars 2008
La cérémonie du thé...controversée
Désillusion.
vendredi 21 mars 2008
Impression de saison
jeudi 20 mars 2008
Organiser le voyage de ses rêves (1)
Deux possibilités s'offrent à vous : partir en groupe, avec une agence de voyage, une association, des membres d'une communauté, un voyage organisé en somme. Partir seul(e) ou accompagné(e), sans itinéraire, au gré de votre envie ou organiser un itinéraire, prévoir chaque lieu, visite, hébergement. Nous reviendrons sur ce choix plus tard. Pour chacune de ces possibilités il vous faudra un budget différent. Un voyage organisé, je vous le dis franchement, c'est cher. Les agences choisissent souvent des lieux célèbres dont la visite est payante, des hébergement plutôt luxueux, les trajets se font souvent en transport onéreux (ferry, bus-limousine) et bien sûr les agences prennent leur part.
L'avantage avec ce genre de voyage, c'est que tout est prévu et qu'il vous reste (parfois) un peu de temps libre. Mais ces voyages durent la plus part du temps une semaine, à des périodes de l'année où il y a beaucoup de touristes. Si vous décidez de partir avec vos propres moyens alors c'est vous qui décidez du budget, mais cela demande beaucoup de temps. Les principales dépenses sont: les billets d'avions et les transports sur place (Japan Rail Pass, métro, taxi...). Pour l'hébergement, libre à vous de dormir dans des hôtels pas cher, ryôkans, capsule-hôtel, cyber-café, le choix est immense de ce côté-là. Pour la nourriture, si vous êtes un gros mangeur, un petit déjeuner, un plat du jour et un dîner ne vous coûtera pas les yeux de la tête, sinon manger des nouilles ou sur le pouce entre deux visites.
Après tout ça, quand on est sur place, on se demande ce qu'on va faire. C'est pour cela qu'il faudra préparer un minimum à l'avance. Et pour cela, il faut chercher, beaucoup chercher. Guide touristique, Internet, envie personnelle...ce n'est pas entreprise facile. Une bonne chose à faire est de s'inspirer des visites organisées par les agences de voyage, pour vous donner des idées. Vous pouvez toujours allez dans l'agence de tourisme de la région où vous êtes (au Japon), pour trouver des lieux à visiter, des ballades, des hébergements etc. Le tout est de savoir se débrouiller, être organiser et motivé. Sachez que le voyage est fait de découvertes, d'expériences, de rencontres c'est pour cela que je ne vous donne pas toutes les clés en main et vous conseille de ne pas trop être minutieux...
lundi 17 mars 2008
L'art de la démesure
dimanche 9 mars 2008
Régamey et Guimet, ancêtres des touristes au Japon ?
Lettre à son frère, 6 septembre 1876
mercredi 5 mars 2008
La symbolique des jardins japonais
Ayant participé à une conférence sur les jardins japonais il y a peu, je délivre à présent mon ressenti.[1]
Pour beaucoup le jardin est un lieu de promenade agencé de végétaux. Mais quand l’occident voit ceci, l’orient voit cela. Et cette loi abstraite de toutes règles mathématiques s’applique parfaitement aux jardins. Le Japon a emprunté ses premiers jardins à son voisin
mardi 4 mars 2008
Réflexion sur l'adaptation
Comment s’acclimater à un pays oriental aussi extraordinaire que le Japon ? Tout ce qui caractérise notre petite Europe ne nous facilite pas vraiment la tâche. Quoique renfermée sur elle-même, on pourrait la considérer comme une île. Même monnaie, mêmes coutumes, mêmes religions, même physionomie, langues disparates certes mais l’Anglais unificateur apparaît comme le ciment linguistique au-delà des frontières. Les frontières justement, y’en aura-t-il toujours ? L’espace Schengen se veut rassurant mais ne rêvons pas, le nationalisme ne s’éteindra pas aussi facilement. A propos de nationalisme, le Japon fait-il aussi fort que l’Europe dans ce domaine ? Sûrement pas autant que
dimanche 2 mars 2008
Capturer l'instant

Toujours ce désir - cette sensation - d'écorcher le vif. Le vif de ce qui nous anime, de ce que l'on est. Estampes ou nouvelles : les arts japonais veulent recréer l'instant présent. Cet instant est fait d'images, de mots qui vibrent et communiquent entre eux. Regardez ces personnages, que se disent-ils ? Cette mise en scène, dans quel but ? Ces questions n'ont qu'une valeur superficielle. Au-delà de la simple représentation d'une soirée arrosée se trouve la signification raisonnable de cette estampe. Où voir de la logique dans une oeuvre à priori futile ? Et bien ce qui est conforme à cette logique c'est l'intention de l'artiste. Quelle est son intention, c'est - à mon avis - la véritable question à se poser. Car l'acte qui détermine ce qui est accompli est précédé d'une intention volontaire.
Nous sommes au 18ème siècle, et le Japon, isolé du reste des continents s'épanouit dans l'art de l'Ukiyo-e. Là-bas, il n'est pas question de rococo ou de néo-classicisme. L'art y est plus modeste, et plus noble. Les dessinateurs dessinent, les sculpteurs gravent et les peintres peignent pour arriver au résultat final : l'estampe. Cet art est incroyablement cohérent. Une cohésion, une unité à vous faire pâlir les petits groupes de mouvement artistique français. Chacun y va de sa plume pour dessiner librement ce qu'il voit, ce qu'il vit. Ce n'est pas une révolution, mais cela a influencé bon nombre d'artistes européens de la même époque. Une liberté qui fait envie. L'intention c'est la liberté. Quoi de mieux comme source d'inspiration ? Je me pose toujours la question.
samedi 1 mars 2008
Brève introduction
Voilà une méthode qui me semble bien adaptée. Oh, il existe probablement d'autres moyens pour comprendre le mécanisme, mais quoi de mieux que de mettre les mains directement dans le cambouis ? Allons à la source des choses, là où jaillit l'essence dont je parlais toute à l'heure. Prenons rendez-vous, organisons des meetings, mettons nous d'accord sur des dates. Essayons ensemble de comprendre ce qui fait.